LE FESTIVAL 2022
VENDREDI 1 juillet
19H
Orpheon MéléHouatts
(gratuit)
20H
Bruno Tocanne - Bernard Santacruz
"Over the Hills"
Agathe Iracema quartet
SAMEDI 2 juillet
14H
Conférence musicale :
"Thelonious Monk"
par Laurent de Wilde
(gratuit)
15H30
Azulera quartet
(gratuit)
17h
Léna Aubert quartet
(gratuit)
20h
Emile Parisien "Louise"
Latin Jazz quintet
de Jeanne Michard
DIMANCHE 3 JUILLET
10h
Promenade musicale
14H
Louis Plaud Trio
(gratuit)
15H30
Karl Jannuska "Duality"
feat. Cynthia Abraham
(gratuit)
18H
Laurent de Wilde
"New Monk Trio"
Old School Funky Family
Musicien je suis ta main
Exposition de photos pendant le festival (gratuit)
Solange Lemoine, Philippe Marzat, Alain Pelletier
Sur variation de mots et d'images, dans un univers poétique et esthétique, cette exposition composée de 20 portraits de mains de musiciens vous invite à l'errance d'un point de vue inédit, celui de la main, de la main du musicien...
© Julia Salmon
VENDREDI 1 JUILLEt
Bruno Tocanne / Bernard Santacruz “Over The Hills”
Sophia Domancich (piano), Alain Blesing (guitare), Rémi Gaudillat & Fred Roudet (trompette , bugle), Antoine Lang (voix),
Bernard Santacruz (basse), Olivier Thémines (clarinettes), Jean Cohen (saxophones), Bruno Tocanne (batterie)
S’inspirant de l’oeuvre devenue mythique de Carla Bley et Paul Haines parue en 1972 sous la forme d’un triple album, Bruno Tocanne et Bernard Santacruz se sont réappropriés cette sorte d’opéra contemporain avec leur formation «Libre(s) Ensemble». «La parfaite combinaison entre ancien et nouveau … réalisme et abstraction … Magnifique orchestre ! (Carla Bley)
Agathe Iracema quartet
Agathe Iracema (voix), Leonardo Montana (piano), Christophe Wallemme (contrebasse), Stéphane Adsuar (batterie)
Fille d’un bassiste brésilien, Agathe Iracema est tombée dans la grande marmite musicale dès son plus jeune âge. Aussi à l’aise dans le jazz que dans la musique brésilienne, cette jeune femme aux qualités vocales évidentes a du goût pour choisir son répertoire et du talent pour l’habiter. Une artiste pleine d’authenticité et de cœur.
© Véronique Vial
© Véronique Vial
samedi 2 JUILLET
Azulera quartet
Mathilde Gardien (voix), Romain Salmon (guitare), Matis Regnault (contrebasse), Ananda Brandao (batterie)
© Julia Salmon
Formé au Centre des Musiques Didier Lockwood, le quartet Azulera offre un répertoire original où se mêlent la musique populaire brésilienne et le jazz moderne. Une place particulière est accordée aux voix et au mélange des timbres et des langues (français, anglais, portugais), ces quatre jeunes talents nous transportant dans un univers haut en couleurs.
© Julia Salmon
Léna Aubert Quartet
Léna Aubert (contrebasse, voix), Lisa Murcia (violon), Noé Degalle (piano), Emile Rameau (batterie)
© Solène Person
Originaire de Charente où elle commença la musique au Conservatoire d’Angoulême, Léna Aubert intégra ensuite le Conservatoire National Supérieur de Paris. A la tête d’un quartet qui fait la part belle aux cordes, elle va nous livrer un tableau musical intime et savoureux à travers la finesse et la sensibilité de son écriture.
© Solène Person
Emile Parisien «Louise»
Emile Parisien (saxophone), Manu Codjia (guitare), Julien Touéry (piano), Yoann Loustalot (trompette),
Simon Tailleu (contrebasse), Gautier Garrigue (batterie)
A l’approche de la quarantaine, Emile Parisien a acquis en quelques années une notoriété qu’il ne doit qu’à son talent. A la tête d’un nouveau sextette de haut niveau où il rend hommage à la sculptrice Louise Bourgeois, il nous offre une musique inventive, parfois aventureuse, mais toujours puissante et généreuse. Un must !
© Samuel Kirszenbaum
© Samuel Kirszenbaum
Jeanne Michard «Latin Quintet»
Jeanne Michard (saxophone), Clément Simon (piano), Maurizio Congiu (contrebasse), Natascha Rogers & Pedro Barrios (percussions)
© Florence Grimmeisen
Suite à plusieurs voyages en Amérique Latine, à Cuba et à New-York, Jeanne Michard a monté ce Latin Quintet pour se faire rencontrer le jazz et la musique afro-cubaine, comme le fit Dizzy Gillespie en son temps. Le groove particulier instillé par les deux percussionnistes dialoguant avec les autres instruments assurera une fin de soirée ensoleillée sous les étoiles !
DIMANCHE 3 JUILLEt
Louis Plaud Trio
Louis Plaud (guitare), Richard Giusti (contrebasse), Maxime Legrand (batterie)
© Aurore Heldt
Natif de la région d’Angoulême où il a fait ses études au conservatoire (et auprès de Philippe Parant, guitariste bien connu dans la capitale charentaise), Louis Plaud s’est perfectionné ensuite auprès de Romain Pilon et de Pierre Perchaud. Son Fox n’Monkey Project est né pendant l’une des périodes de confinement et nous propose un voyage entre le jazz et la folk.
Karl Jannuska “Duality” feat. Cynthia Abraham
Karl Jannuska (batterie), Cynthia Abraham (voix), Robert Clearfield (piano), Pierre Perchaud & Antoine Lahay (guitare)
Canadien anglophone installé en France depuis vingt ans, Karl Jannuska est bien connu du festival puisqu’il y est venu plusieurs fois comme batteur dans les formations des autres. Mais c’est avec son propre orchestre qu’il se produit cette fois-ci, nous proposant la musique de son dernier album Duality. Mariage d’amour du rythme et de la mélodie.
Laurent de Wilde “New Monk Trio”
Laurent de Wilde (piano), Diego Imbert (contrebasse), Donald Kontomanou (batterie)
© Sylvain Gripoix
Depuis sa “période américaine” il y a une trentaine d’années (Jack DeJohnette, Billy Hart, Eddie Henderson), Laurent de Wilde s’est affirmé de ce côté de l’Atlantique comme un pianiste majeur. Spécialiste de Thelonious Monk (un livre chez Gallimard qui fait référence), il ne pouvait faire mieux que de lui consacrer un nouveau trio. Enthousiasmant !
Old School Funky Family
Paul-Antoine Roubet (sax soprano), Illyes Ferfera (sax alto), David Mimey (sax ténor), Julius Buros (sax baryton), Arthur Guyard (orgue),
Joël Riffard (guitar), Pierre Latute (sousaphone), Jérôme Martineau-Ricotti (batterie)
© Reno Silva Couto
Pour terminer dans la joie et la bonne humeur, voilà un orchestre dont la devise est de “faire de la musique sérieusement sans se prendre au sérieux”. Une rythmique d’acier, quatre saxophones qui vont souffler jusqu’à la cime des arbres et un répertoire qui mélange le jazz, le funk et l’afrobeat vont faire danser les anges de l’Abbaye de Puypéroux.
Merci à Philippe Vincent, chroniqueur à Jazz Magazine, pour ses textes de présentation des artistes du festival